Pourquoi « Mauringgit » ?

Vous avez aimé la Décapée du Sushi ? Alors vous aimerez Mauringgit !

Tout comme dans mon précédent blog où je vous racontais ma fascinante vie de tokyoïte, j’essaierai de partager ici quelques bouts de mon périple en Malaisie. J’y serai du 14 mars au 28 mai, avec pour objectif principal la bonne conduite de mon mémoire sur l’éducation chinoise. Les Chinois sont en effet nombreux en Malaisie (pas loin de 30%), ce qui m’a amenée à  m’intéresser au rôle de leurs écoles dans la construction de leur identité diasporique, notamment à travers le mandarin. « C’est pas faux », me répondront les fans de Kaamelott.

Enfin, l’objectif de ce blog n’est pas de vous parler des intrigues peu croustillantes de mon mémoire, mais plutôt d’essayer d’ouvrir une fenêtre sur quelques aspects intéressants de mon quotidien en terre malaise. Pour le plaisir des yeux, j’y inclurai beaucoup de photos. Vous pouvez donc dès à présent mettre Mauringgit dans vos favoris <3

Pour répondre à la question titre de l’article : j’avais demandé à mon frère de me trouver un titre aussi éclatant que sa dernière œuvre (La Décapée du Sushi), mais il n’était point inspiré. Mon père a fini par me suggérer « Mauringgit », contraction facile entre « Maureen » et « ringgit », le ringgit étant la monnaie circulant en Malaisie. Voilà. J’avais pensé à « Mets ton poncho en Malaisie », mais on m’a cordialement suggéré de mettre fin à ma tendance à l’auto-latino-américanisation.

Patience pour la publication de mon premier vrai article et de mes premières photos : j’arriverai vendredi à Kuala Lumpur. À très bientôt !

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